jeudi 25 octobre 2012

Le feu aux fesses

(the dreaded hairbrush)

Kimberly est la dernière fille du docteur Joseph March. Après le décès de sa femme, tout en militant activement au Tea Party et dans sa paroisse presbytaro-baptiste de strict obédience, le docteur a élevé seul ses 4 filles.



Ses 3 aînées ont maintenant quitté le toit paternel pour se marier. Seule reste encore Kimberley, institutrice à l'école maternelle du comté. Comme ses sœurs avant elle, kim est une jeune fille sage et pieuse qui fait toute la fierté de son père.


Pourtant, lorsqu'il fait la tournée des commerçants pour motiver les électeurs ou paroissiens, son père a finit par se rendre compte de quelques silences gênés de certains de ses interlocuteurs lorsque la conversation venait à porter sur sa petite dernière Kim, si sage et mignonne. Y aurait-il anguille sous roche ?

 ??



Il s'en ouvre à Phil, son vieux copain d'enfance qui tient le drugstore. Celui-ci est gêné, mais finit par lui glisser que Kimberley n'est peut-être pas aussi blanche qu'elle en a l'air, et qu'il devrait mieux la surveiller. « Tu sais Jo, j'ai eu des filles moi aussi. Elles ne sont pas méchantes, mais ont parfois le feu aux fesses. A ta place je commencerais par examiner son sac à main. Tu aurais peut-être des surprises. Les filles ne sont pas toujours très ordonnées, ni très prudentes. »



Ce soir Joseph rentre donc dès 17h, pour attendre sa fille à son retour de l'école. A 18h elle n'est toujours pas là. Enfin elle rentre à 19h, l'embrasse et lui demande si tout va bien.



« Très bien ma chérie. Et toi ? »
« Oh ça va, la routine tu sais. »
« Dis-moi, tu rentres tard ce soir. L'école se termine pourtant à 16h30. »
Elle, rougissant un peu, « Oui, mais j'ai reçu une mère d'élève, et ensuite j'ai fait un peu de réorganisation dans ma classe. »
« Tu pourrais me montrer ton sac ma chérie ? »
« Mon sac ? Mais tu le connais, c'est toi qui me l'as offert pour mes 18 ans »
« Je voulais dire, le contenu de ton sac. »
« Mais Papa, c'est mon sac ! »
« Et moi je suis ton père Kim »
« Papa je suis majeure ! Tu n'as pas le droit ! »
« Majeure ou non, tu reste ma fille. Tu n'es pas mariée et vis sous mon toit. J'ai donc encore autorité sur toi, et un devoir de surveillance sur ta conduite et tes fréquentations.»
« Oui Papa, je sais bien. »
 « Alors maintenant, tu me montres le contenu de ce sac.»
« Si tu veux Papa, mais n'y a rien de spécial tu sais. »
« C'est ce que je veux vérifier, ma fille »



L'examen du sac débute. Kim sort les objet un à un. Elle s'efforce de garder sa contenance, se sentant observée par son père. Enfin elle prétend qu'il ne reste plus rien. Mais elle rougis tellement que son père préfère vérifier. Il retourne le sac sur la table, et là... horreur !




Le sang de M. March ne fait qu'un tour. La chose est claire, il ne prend pas la peine de demander des explications à Kimberley. Il est très mécontent, et elle va le regretter. Mr March père n'a jamais plaisanté avec la vertu de ses filles : avant le mariage la virginité est de rigueur. 



Kim a fauté ! Elle doit être sévèrement punie ! Papa prend la brosse à cheveux de sa fille et saisit la pauvre Kim par la main. Direction, la chambre ! 



Arrivé dans la chambre son père s'assoit sur la chaise et couche Kimberley sur ses genoux, en l'y maintenant fermement tenue par la taille.



Troussée et déculottée dans l'instant, 



la jeune fille se rend compte que ses 21 ans ne lui seront d'aucun secours.



Immédiatement son père entreprend méthodiquement de lui rougir les fesses et le haut des cuisses.



La brosse à cheveux s'abat inexorablement sur sa peau sans défense, lui arrachant gémissements et supplications.



Ses 21 ans, ses pleurs et ses demandes de pardon n'y font rien. Elle s'est très mal conduite, et son père a décidé qu'une correction exemplaire était de rigueur. Kim doit expier ses fautes à la manière des filles.







lundi 22 octobre 2012

Honneur de la police


 A l'occasion d'une manifestation des Indignés contre le G20 et la finance globale, la jeune Camille a été arrêtée pour avoir insulté les policiers et leur avoir jeté des projectiles.







Bien qu'elle soit majeure, les policiers préviennent son père dès qu'ils ont connaissance de son identité. Une heure après, Papa est au poste pour rechercher sa fille, et étouffer l'affaire... qui ne s'arrêtera cependant pas tout à fait là.

En effet l'ancien commissaire divisionnaire, fraichement retraité de la Police Nationale, ne peut supporter une telle attitude de la part de sa progéniture. Puisqu'elle a eu la bonne idée d'aller manifester en jupe, l'application de la discipline sera immédiate, dès le retour à la maison !

Et notre jeune rebelle de terminer piteusement cette journée revendicative : jupe troussée et culotte à mi-cuisses. Battant désespérément l'air de ses bras et jambes, mais fermement tenue par la taille, balbutiant des demandes de pardon et des promesses de ne plus recommencer, Camille appris ainsi à ses dépens que, même en démocratie, on ne badine pas avec l'honneur de la police.



dimanche 21 octobre 2012

La confession tant retardée



A l'occasion de son anniversaire Camille décide d'ouvrir son âme à Papa. A 21 ans, cela fait maintenant 3 ans qu'elle n'a pas été fessée. Son père a arrêté de la punir lorsqu'elle a atteint sa majorité.

Elle regrette son caractère souvent incontrôlable et a compris qu'elle avait encore besoin de discipline. Elle ressent le besoin d'une figure de référence capable de faire preuve d'autorité et de la reprendre en main.



Comme plusieurs de ses copines, elle a compris, et accepté, que rien ne vaut une bonne fessée pour remettre les idées en place et acquérir un bon comportement.
Toute embarrassée (on la comprend!) à l'idée de faire cet aveu à son père, elle est arrivée à la conclusion qu'une petite lettre bien tournée valait mieux que de longs bafouillements embrouillés et incompréhensibles.



Toute rougissante et dans ses petits souliers, elle observe pleine d'espoir Papa prendre connaissance de la missive. Heureusement ce dernier est compréhensif et a pleinement le sens de ses responsabilités. Il rassure pleinement sa fille, lui disant qu'il est fière d'elle, de sa démarche et de sa confiance.



Ils entreprennent donc de mettre au point leur nouvel arrangement. Tous les deux sont d'accord sur le principe d'une confession mensuelle honnête et sincère. Papa propose de lui donner alors une fessée si son comportement souffre trop de reproches.

Camille voudrait beaucoup plus de fermeté. Elle explique à son père qu'elle a besoin d'être régulièrement fessée, quoi qu'elle ait fait, même simplement à titre de rappel. Elle explique à Papa qu'il n'aura qu'à varier la sévérité selon les fautes : plus ou moins longues et fortes, sur les seules fesses ou également le hauts des cuisses, à la seule main ou avec l'aide de la brosse à cheveux (après un bon échauffement par pitié!). 

Afin de bien distinguer les fessées punitives, et d'y ajouter un zeste de honte pédagogique, elle propose d'être alors déculottée ; contrairement aux « good girl spanking » où elle gardera sa culotte (et plus de dignité!).



Emu et touché Papa accepte et promet de s'efforcer d'être à la hauteur, et de savoir être sévère quand il le faudra. Camille le remercie propose de profiter de ce week-end ensemble à la maison pour qu'il lui donne sa première fessée de jeune fille majeure. Papa promet de lui donner une petite fessée d'avertissement avant qu'elle reparte à Paris.

Camille lui redit aussi combien elle pense avoir besoin de sévérité. Elle lui propose donc au contraire, afin justement de l'aider à ne pas hésiter à se montrer ferme le moment venu, qu'il lui donne dès ce week-end une fessée longue et réellement sévère. Elle lui redit que c'est pour son bien et qu'elle en a besoin, que cela l'aidera et qu'elle lui en sera très reconnaissante.

Enfin pleinement convaincu Papa accepte. Elle se jette à son cou. 



Ils discutent encore un peu, de cela et de choses et d'autres. Puis son père se tait et la regarde silencieusement. Elle l'interroge d'abord du regard : « Qu'y a-t-il Papa ? ». « Une décision a été prise Camille. Je ne compte pas tarder dans son application. Je vais donc derechef te donner la fessée dont tu as besoin. Comme convenu, elle sera "en culotte"; mais je te promet que tu va la sentir. Allez, viens avec moi dans ta chambre » lui dit-il en la saisissant par la main.

A ses mots l'estomac de Camille se noue. Ca y est, elle va recevoir sa fessée, et une bonne fessée ! Plus question de reculer. Elle en a souvent rêvé, mais elle sait maintenant que cela ne va pas être drôle ! C'est une vraie fessée qui l'attend, une fessée sévère comme elle l'a réclamée ! Quelle petite folle j'ai été !

Camille répond simplement « Oui Papa », en baissant les yeux. Elle obéit et se laisse docilement entrainer.

Une fois dans la chambre Papa s'assoit sur la chaise et met sa fille en position. Elle est maintenant bras et jambes ballant, en équilibre sur les genoux paternels, fermement tenue à la taille. Papa prend ses marques quelques minutes en la fessant sur la jupe.



Pour l'instant ce n'est pas réellement douloureux, mais cela ne saurait durer. Bientôt en effet son père entreprend de la trousser soigneusement. Malgré sa petite culotte, trop légère et si peu couvrante, Camille sait bien que le pire l'attend. La vraie fessée peut commencer...


samedi 20 octobre 2012

Dimanche matin, départ pour la messe


Dimanche matin 10h. Le commandant appelle sa fille pour partir à la messe. Contre toute attente celle-ci descend en jean, une chose qui ne s'était jamais vue.

Son père lui en fait la remarque, et lui demande de mettre une tenue plus appropriée. La jeune fille se braque, « Et alors, il est propre mon jean ! ». Le père reste ferme, et explique à sa fille que, pour honorer convenablement sa famille et son Créateur, une fille ou une femme doit, à plus forte raison encore pour assister à la messe, porter une tenue adéquate, c'est à dire notamment être en jupe ou en robe (en non pas en habit d'homme).



Camille persiste et se fait tirer l'oreille plus que de raison. Elle s'emporte même, perdant le sang-froid et la retenue qu'une jeune file de bonne famille doit savoir conserver en toutes circonstances. Le commandant ne saurait tolérer cette rébellion dans son foyer, surtout au moment d'aller rendre grâce aux Seigneur. Il décide donc de sévir.

Pendant ce temps, dans sa chambre, Camille se rend compte qu'elle a été trop loin. Son père est peut-être un peu vieux jeu ; mais c'est son père et elle lui doit le respect. 



Elle retire prestement son pantalon pour enfiler une jupe sage, conformément aux instructions paternelles. Puis elle redescend l'escalier, cette fois-ci d'un pas discret et sans faire de bruit, pour rejoindre son père.

Elle veut lui présenter ses excuses, lui demander pardon, mais il est maintenant trop tard. Papa a décidé qu'une bonne fessée était méritée, et n'est pas disposé à revenir sur sa décision.

Oubliant l'heure de la messe il saisit sa fille par la main et l'entraine dans les escaliers. Arrivé dans la chambre de la jeune fille il s'assoit sur la chaise et bascule Camille sur ses genoux. Après l'avoir bien calée, lui enserrant fermement la taille de son bras gauche, il entreprend de lui inculquer les vertus d'obéissance et de docilité. Une longue et retentissante fessée attend la jeune insolente.



mercredi 3 octobre 2012

J'ai même fait quelques émules !

Et oui ! Finalement cette émission a bien fait les choses. D'autres filles ont commencé à me poser des questions. Même si elles ne l'avouaient pas toujours, j'ai bien senti que je faisais des envieuses. Quoi de plus naturel au fond. Une fessée ce n'est pas la mort, et ça fait même parfois beaucoup de bien lorsqu'on se sent coupable.


Oh, il y a bien eu quelques ragots

Oh, il y a bien eu quelques ragots et messes basses au début... "il parait que ses parents lui donnent encore la fessée ! Tu te rends compte ?.."Oh mon Dieu ! J'aurais trop honte !"...  Mais finalement les gens - du moins ceux qui étaient au courant, car je ne l'ai pas crié sur les toits ! - ont accepté mon choix.


J'ai préféré prendre les devant

J'ai préféré prendre les devant. En effet la veille, anonymement mais sans me cacher, je venais d'expliquer mon libre choix de jeune fille lors d'une émission de société. Oui, alors que je suis majeure, éduquée et intelligente, étudiante en license, j'ai choisi librement de recevoir à nouveau la fessée. Elle m'est donnée par mes parents ou, notamment lorsque ceux-ci sont trop loin, par d'autres adultes à qui je confie ce pouvoir, pour mon propre bien. L'émission était certes diffusée à une heure tardive, mais tôt ou tard, elles l'auraient appris.