A l'occasion de son anniversaire
Camille décide d'ouvrir son âme à Papa. A 21 ans, cela fait
maintenant 3 ans qu'elle n'a pas été fessée. Son père a arrêté
de la punir lorsqu'elle a atteint sa majorité.
Elle regrette son caractère souvent
incontrôlable et a compris qu'elle avait encore besoin de
discipline. Elle ressent le besoin d'une figure de référence
capable de faire preuve d'autorité et de la reprendre en main.
Comme plusieurs de ses copines, elle a
compris, et accepté, que rien ne vaut une bonne fessée pour
remettre les idées en place et acquérir un bon comportement.
Toute embarrassée (on la comprend!) à
l'idée de faire cet aveu à son père, elle est arrivée à la
conclusion qu'une petite lettre bien tournée valait mieux que de
longs bafouillements embrouillés et incompréhensibles.
Toute rougissante et dans ses petits
souliers, elle observe pleine d'espoir Papa prendre connaissance de
la missive. Heureusement ce dernier est compréhensif et a pleinement
le sens de ses responsabilités. Il rassure pleinement sa fille, lui
disant qu'il est fière d'elle, de sa démarche et de sa confiance.
Ils entreprennent donc de mettre au
point leur nouvel arrangement. Tous les deux sont d'accord sur le
principe d'une confession mensuelle honnête et sincère. Papa
propose de lui donner alors une fessée si son comportement souffre
trop de reproches.
Camille voudrait beaucoup
plus de fermeté. Elle explique à son père qu'elle a besoin d'être
régulièrement fessée, quoi qu'elle ait fait, même simplement à
titre de rappel. Elle explique à Papa qu'il n'aura qu'à varier la
sévérité selon les fautes : plus ou moins longues et fortes,
sur les seules fesses ou également le hauts des cuisses, à la seule
main ou avec l'aide de la brosse à cheveux (après un bon
échauffement par pitié!).
Afin de bien distinguer les fessées
punitives, et d'y ajouter un zeste de honte pédagogique, elle
propose d'être alors déculottée ; contrairement aux « good
girl spanking » où elle gardera sa culotte (et plus de
dignité!).
Emu et touché Papa accepte
et promet de s'efforcer d'être à la hauteur, et de savoir être
sévère quand il le faudra. Camille le remercie propose de profiter
de ce week-end ensemble à la maison pour qu'il lui donne sa première
fessée de jeune fille majeure. Papa promet de lui donner une petite
fessée d'avertissement avant qu'elle reparte à Paris.
Camille lui redit aussi
combien elle pense avoir besoin de sévérité. Elle lui propose donc
au contraire, afin justement de l'aider à ne pas hésiter à se
montrer ferme le moment venu, qu'il lui donne dès ce week-end une
fessée longue et réellement sévère. Elle lui redit que c'est pour
son bien et qu'elle en a besoin, que cela l'aidera et qu'elle lui en
sera très reconnaissante.
Enfin pleinement convaincu
Papa accepte. Elle se jette à son cou.
Ils discutent encore un peu,
de cela et de choses et d'autres. Puis son père se tait et la
regarde silencieusement. Elle l'interroge d'abord du regard :
« Qu'y a-t-il Papa ? ». « Une décision a été
prise Camille. Je ne compte pas tarder dans son application. Je vais
donc derechef te donner la fessée dont tu as besoin. Comme convenu, elle sera "en culotte"; mais je te promet que tu va la sentir. Allez, viens
avec moi dans ta chambre » lui dit-il en la saisissant par la
main.
A ses mots l'estomac de
Camille se noue. Ca y est, elle va recevoir sa fessée, et une bonne
fessée ! Plus question de reculer. Elle en a souvent rêvé,
mais elle sait maintenant que cela ne va pas être drôle !
C'est une vraie fessée qui l'attend, une fessée sévère comme elle
l'a réclamée ! Quelle petite folle j'ai été !
Camille répond simplement
« Oui Papa », en baissant les yeux. Elle obéit et se
laisse docilement entrainer.
Une fois dans la chambre
Papa s'assoit sur la chaise et met sa fille en position. Elle est
maintenant bras et jambes ballant, en équilibre sur les genoux
paternels, fermement tenue à la taille. Papa prend ses marques
quelques minutes en la fessant sur la jupe.
Pour l'instant ce n'est pas réellement douloureux, mais cela ne saurait durer. Bientôt en effet son père entreprend de la trousser soigneusement. Malgré sa petite culotte, trop légère et si peu couvrante, Camille sait bien que le pire l'attend. La vraie fessée peut commencer...
Pour l'instant ce n'est pas réellement douloureux, mais cela ne saurait durer. Bientôt en effet son père entreprend de la trousser soigneusement. Malgré sa petite culotte, trop légère et si peu couvrante, Camille sait bien que le pire l'attend. La vraie fessée peut commencer...
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