dimanche 21 octobre 2012

La confession tant retardée



A l'occasion de son anniversaire Camille décide d'ouvrir son âme à Papa. A 21 ans, cela fait maintenant 3 ans qu'elle n'a pas été fessée. Son père a arrêté de la punir lorsqu'elle a atteint sa majorité.

Elle regrette son caractère souvent incontrôlable et a compris qu'elle avait encore besoin de discipline. Elle ressent le besoin d'une figure de référence capable de faire preuve d'autorité et de la reprendre en main.



Comme plusieurs de ses copines, elle a compris, et accepté, que rien ne vaut une bonne fessée pour remettre les idées en place et acquérir un bon comportement.
Toute embarrassée (on la comprend!) à l'idée de faire cet aveu à son père, elle est arrivée à la conclusion qu'une petite lettre bien tournée valait mieux que de longs bafouillements embrouillés et incompréhensibles.



Toute rougissante et dans ses petits souliers, elle observe pleine d'espoir Papa prendre connaissance de la missive. Heureusement ce dernier est compréhensif et a pleinement le sens de ses responsabilités. Il rassure pleinement sa fille, lui disant qu'il est fière d'elle, de sa démarche et de sa confiance.



Ils entreprennent donc de mettre au point leur nouvel arrangement. Tous les deux sont d'accord sur le principe d'une confession mensuelle honnête et sincère. Papa propose de lui donner alors une fessée si son comportement souffre trop de reproches.

Camille voudrait beaucoup plus de fermeté. Elle explique à son père qu'elle a besoin d'être régulièrement fessée, quoi qu'elle ait fait, même simplement à titre de rappel. Elle explique à Papa qu'il n'aura qu'à varier la sévérité selon les fautes : plus ou moins longues et fortes, sur les seules fesses ou également le hauts des cuisses, à la seule main ou avec l'aide de la brosse à cheveux (après un bon échauffement par pitié!). 

Afin de bien distinguer les fessées punitives, et d'y ajouter un zeste de honte pédagogique, elle propose d'être alors déculottée ; contrairement aux « good girl spanking » où elle gardera sa culotte (et plus de dignité!).



Emu et touché Papa accepte et promet de s'efforcer d'être à la hauteur, et de savoir être sévère quand il le faudra. Camille le remercie propose de profiter de ce week-end ensemble à la maison pour qu'il lui donne sa première fessée de jeune fille majeure. Papa promet de lui donner une petite fessée d'avertissement avant qu'elle reparte à Paris.

Camille lui redit aussi combien elle pense avoir besoin de sévérité. Elle lui propose donc au contraire, afin justement de l'aider à ne pas hésiter à se montrer ferme le moment venu, qu'il lui donne dès ce week-end une fessée longue et réellement sévère. Elle lui redit que c'est pour son bien et qu'elle en a besoin, que cela l'aidera et qu'elle lui en sera très reconnaissante.

Enfin pleinement convaincu Papa accepte. Elle se jette à son cou. 



Ils discutent encore un peu, de cela et de choses et d'autres. Puis son père se tait et la regarde silencieusement. Elle l'interroge d'abord du regard : « Qu'y a-t-il Papa ? ». « Une décision a été prise Camille. Je ne compte pas tarder dans son application. Je vais donc derechef te donner la fessée dont tu as besoin. Comme convenu, elle sera "en culotte"; mais je te promet que tu va la sentir. Allez, viens avec moi dans ta chambre » lui dit-il en la saisissant par la main.

A ses mots l'estomac de Camille se noue. Ca y est, elle va recevoir sa fessée, et une bonne fessée ! Plus question de reculer. Elle en a souvent rêvé, mais elle sait maintenant que cela ne va pas être drôle ! C'est une vraie fessée qui l'attend, une fessée sévère comme elle l'a réclamée ! Quelle petite folle j'ai été !

Camille répond simplement « Oui Papa », en baissant les yeux. Elle obéit et se laisse docilement entrainer.

Une fois dans la chambre Papa s'assoit sur la chaise et met sa fille en position. Elle est maintenant bras et jambes ballant, en équilibre sur les genoux paternels, fermement tenue à la taille. Papa prend ses marques quelques minutes en la fessant sur la jupe.



Pour l'instant ce n'est pas réellement douloureux, mais cela ne saurait durer. Bientôt en effet son père entreprend de la trousser soigneusement. Malgré sa petite culotte, trop légère et si peu couvrante, Camille sait bien que le pire l'attend. La vraie fessée peut commencer...


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